Erilia – La plateforme d’EDI de Neovacom et ses avantages

Les plateformes d’échange de données informatiques (EDI) se font une place de plus en plus importante au sein des entreprises, la difficulté étant de savoir laquelle choisir.

Après avoir utilisé notre plateforme Neovacom ESv2, Cyrille Vincent, responsable de la Direction des systèmes d’information (DSI) d’Erilia a accepté de dresser un premier bilan.

Pourquoi avez-vous choisi la plateforme d’EDI de Neovacom ?

 

Cyrille Vincent : « Nous disposions déjà d’une plateforme d’Echanges de données informatisées (EDI) d’un prestataire concurrent depuis 1998. Principalement pour gérer nos factures EDF. Au moment de nous mettre en conformité avec le protocole d’échanges bancaires, nous avons étudié les offres des différents éditeurs. Séduits par le nouveau système d’intégration de données du système d’information de Neovacom, nous avons opté pour le changement en 2011. Nous en avons également profité pour nous adapter au nouveau format d’échanges de données d’EDF, passant d’Edifact à XML. Neovacom nous a paru être un expert de l’EDI, un prestataire très fiable et à l’écoute de ses clients. »

 

Est-ce un long projet à mener ?

 

« En raison de contraintes organisationnelles internes, il nous a fallu près d’un an pour mener à bien ce projet. En temps normal, cela aurait pris trois ou quatre mois. Mais ça y est, nous sommes passés en production voilà quelques semaines. Désormais, toutes nos factures sont au format XML. »

 

Combien de messages transitent sur votre plateforme ?

 

« Nous avons beaucoup de flux. Nous traitons 120 000 factures par an dont 20 000 factures EDF. Pour nos collègues de la direction financière, le passage du format Edifact à XML a été invisible et l’adaptation à l’environnement de la nouvelle plateforme d’EDI très rapide. »

 

Comptez-vous développer une autre fonctionnalité de votre plateforme d’EDI ?

 

« Oui, nous allons demander à Neovacom de nous produire un entrepôt de données à partir de notre nouvelle plateforme d’échanges EDI. Il s’agit d’une base de données qui nous permettra de réaliser des statistiques, des analyses sur la consommation électrique de nos locataires à partir des factures que nous recevons. Nous saurons ce qu’il en est pour chaque logement, pour chaque bâtiment. Ce sera une vraie plus-value pour mieux gérer notre parc immobilier. Cette fonctionnalité nous a séduit dès le départ. Elle sera opérationnelle dans l’année. »

 

Avez-vous d’autres projets à venir ?

 

« Nous souhaitons nous engager dans un plus vaste projet de dématérialisation et tendre vers le zéro papier. La prochaine étape sera probablement la mise en place de la signature électronique pour tous les documents (virements, prélèvements) que nous adressons à la banque. »

Acteur national du logement social, Erilia gère et entretient un patrimoine de 58 000 logements pour 119 000 clients. Implanté à Marseille depuis 1958, son parc s’étendait essentiellement dans le Grand-Sud et la Corse mais s’est depuis développé dans 7 régions : Provence-Alpes-Côte d’Azur, Corse, Occitanie, Auvergne Rhône-Alpes, Île-de-France, Nouvelle Aquitaine et Pays de la Loire.

Erilia compte plus de 700 collaborateurs dans ses rangs. En 2014, il s’est étoffé de 1 000 nouveaux logements et de près de 5 000 nouveaux locataires. L’entreprise appartient au Groupe Habitat en Région, 2ème opérateur privé et opérateur social des Caisses d’Epargne et du Groupe BPCE.